Arrivée au sommet à Bamberg
Actuellement ma voiture étant bien garée, je fais tout pour ne pas la déplacer (cf. l’épisode avec la fourrière) ! De plus, j’ai découvert par l’intermédiaire d’un collègue un site génial pour faire du covoiturage. Il ne présente que des avantages mis à part le fait qu’il soit en allemand. Sa devise : « cliquer, rouler, économiser ». En Allemagne, cette façon de se déplacer est énormément utilisée. Il faut dire que c est plus flexible que l’avion et le train, bien moins cher et écologique : le mix parfait à condition de ne pas tomber avec des Jackys mais c’est le jeu ma pauvre lucette.
Quoi qu’il en soit j’ai trouvé un allemand, Thomas, qui effectuait le trajet Munich – Bamberg à une heure qui me convenait. En plus de moi, deux autres filles étaient de la partie. L’une était super sympa, l’autre après 15 min je l’aurais bien enfermé dans le coffre tellement elle n’arrêtait pas de jacter… Nous avons perdu énormément de temps dans les bouchons, weekend du 1er mai et travaux obligent, toutefois dès que la route s’est dégagée j’ai pu goûter aux joies de la conduite allemande : la petite Seat Léon n’a pas démérité, le conducteur l’ayant maintenue à un 190 km/h de moyenne. Je pensais que je resterais accrochée à la portière, pas du tout même si ça défile vite à cette vitesse on se sent en relative sécurité. Bon j’ai évité de penser aux conséquences d’un malheureux obstacle ou écart à cette vitesse là. L’avantage c’est que le SAMU n’aurait pas besoin de faire le déplacement…
Arrivée à bon port avec 2h de retard, Marion est passée me chercher. Elle avait organisé un dîner avec ses amis, colocataires et collègues allemands. Sa colocation est située à deux pas du centre ville de Bamberg et peut accueillir moultes invités ! J’ai été touchée par le fait qu’ils m’aient attendue pour dîner, en effet il était 21h30 et il faut bien se rappeler que les allemands dînent en général entre 18 et 19h.
Avant d’effectuer un petit tour de table, je tiens à souligner le fait qu’ils ont tous le même prénom. Je commence à avoir rencontré pas mal d’allemands et leurs parents manquent d’originalité : Thomas, Vera, Anna, Christina sont ultra ultra courant. Bref ce soir-là étaient réunis deux Thomas, un collègue et le nouveau colocataire, Christina, une amie russe, et Vera une amie de Marion.
Marion avait assuré pour le petit dîner avec une recette sortie de son imagination, mais ça je ne suis pas sûre que les allemands l’aient compris ! Au bout de quelques heures je me suis aperçue qu’ils comprenaient tous très bien le français et le parlaient pas trop mal, attention aux boulettes ! La soirée s’est très bien déroulée, nous avons parlé de voyages, de l’Allemagne, de la France…je n’ai absolument pas vu passé le temps. Une excellente soirée à la française à déguster du vin et à refaire le monde avec Vera et Thomas, les autres nous ayant lâché. C’est toujours agréable de pouvoir parler avec des gens ouverts d’esprit et je remarque au fur et à mesure de mes rencontres que les personnes qui ont voyagé partagent souvent la constante suivante : ils « engagent facilement la conversation + sont curieux + sont constructifs lors des discussions + aiment la vie ». Bon je m’emballe un peu, tout de même y a du vrai…
Je tiens à souligner la performance de Marion qui nous accueillait et qui s’est endormie dans le canapé comme une larve. Si bien que les rôles furent inversés et les invités purent squatter sa chambre. Merci Marion !
Quoi qu’il en soit j’ai trouvé un allemand, Thomas, qui effectuait le trajet Munich – Bamberg à une heure qui me convenait. En plus de moi, deux autres filles étaient de la partie. L’une était super sympa, l’autre après 15 min je l’aurais bien enfermé dans le coffre tellement elle n’arrêtait pas de jacter… Nous avons perdu énormément de temps dans les bouchons, weekend du 1er mai et travaux obligent, toutefois dès que la route s’est dégagée j’ai pu goûter aux joies de la conduite allemande : la petite Seat Léon n’a pas démérité, le conducteur l’ayant maintenue à un 190 km/h de moyenne. Je pensais que je resterais accrochée à la portière, pas du tout même si ça défile vite à cette vitesse on se sent en relative sécurité. Bon j’ai évité de penser aux conséquences d’un malheureux obstacle ou écart à cette vitesse là. L’avantage c’est que le SAMU n’aurait pas besoin de faire le déplacement…
Arrivée à bon port avec 2h de retard, Marion est passée me chercher. Elle avait organisé un dîner avec ses amis, colocataires et collègues allemands. Sa colocation est située à deux pas du centre ville de Bamberg et peut accueillir moultes invités ! J’ai été touchée par le fait qu’ils m’aient attendue pour dîner, en effet il était 21h30 et il faut bien se rappeler que les allemands dînent en général entre 18 et 19h.
Avant d’effectuer un petit tour de table, je tiens à souligner le fait qu’ils ont tous le même prénom. Je commence à avoir rencontré pas mal d’allemands et leurs parents manquent d’originalité : Thomas, Vera, Anna, Christina sont ultra ultra courant. Bref ce soir-là étaient réunis deux Thomas, un collègue et le nouveau colocataire, Christina, une amie russe, et Vera une amie de Marion.
Marion avait assuré pour le petit dîner avec une recette sortie de son imagination, mais ça je ne suis pas sûre que les allemands l’aient compris ! Au bout de quelques heures je me suis aperçue qu’ils comprenaient tous très bien le français et le parlaient pas trop mal, attention aux boulettes ! La soirée s’est très bien déroulée, nous avons parlé de voyages, de l’Allemagne, de la France…je n’ai absolument pas vu passé le temps. Une excellente soirée à la française à déguster du vin et à refaire le monde avec Vera et Thomas, les autres nous ayant lâché. C’est toujours agréable de pouvoir parler avec des gens ouverts d’esprit et je remarque au fur et à mesure de mes rencontres que les personnes qui ont voyagé partagent souvent la constante suivante : ils « engagent facilement la conversation + sont curieux + sont constructifs lors des discussions + aiment la vie ». Bon je m’emballe un peu, tout de même y a du vrai…
Je tiens à souligner la performance de Marion qui nous accueillait et qui s’est endormie dans le canapé comme une larve. Si bien que les rôles furent inversés et les invités purent squatter sa chambre. Merci Marion !
Ci-dessus Thomas, Marion qui dort et Vera. Essayer de réveiller une Marion, c’est comme essayer de faire boire Christina : impossible !